Psicoterapia: Naissance et developpement du Soi dans la perinatalité.

III Congrès International de Somatothérapie – Strasbourg, 1991.

Naissance et dèvèloppement du soi dans la personnalité.


Il est possible comprendre ce qui se passe et de faire des hypothèses sur le fonctionnement psycho-corporel. Ce qui est évident aujourd’hui dans le monde scientifique est la nécessité d’une approche en mémé temps globale et approfondie, et non décousue ni segmentée; une approche qui reconnaisse l’inséparable unitarisme de la personne, le profonds rapports qui lient ses plans de fonctionnement. La perspective thérapie Fonctionnel soutien qui ai développé une vision holistique de l’individu (des l’enfance), non pas au sens d’un « tout » vague et indistinct, mais d’une présence de plans et de zones fonctionnelles bien précisées, ayant entre eux un profond rapport de relation, des le début (intégration primaire).

  1. C’est une pulsion unitaire l’hypothèse de fond qui remue l’enfant vers l’expansions, vers la vie à tous les niveaux. On n’accept pas le postulat d’un Instinct de mort, mais on considère les expressions négatives comme des manifestations de gene de l’enfant quand il ne vient pas accueilli et accepté complètement en toutes ses éxigence.

La conception fonctionnel du soi consiste à un ensemble articulé de plusieurs fonctions, originairement toutes présentes et strictement intégrées, qui peuvent etre subdivisées en quatre grandes zones, dont chacune est composée de plusieurs processus fonctionnels et de plusiers sub-niveaux : Le Postural – Le postures e les attitudes. Les grand e le petit mouvementes. Les mouvements involontaires. Le configuration morphologique. La structure musculaire.

LE COGNITIF SYMBOLIQUE –La rationalité. Les souvenirs. Les fantaisies. Le monde  du symbolique. L’immagination.

L’EMOTIF- Le sentiments positif et négatif . La perception du soi. Les sentimentes continuellement présents ou réprimés.

LE PHISIOLOGIQUE -Les systèmes et les apparats intérieurs (le neuro-végétatif, le respiratoire, le cardio-vasculaire, l’immunitaire, le digestif, l’hormonal, etc). Le perceptions. Le tact. Le ton musculaire de base. C’est vrai que dans le développement de l’enfant les différentes fonction deviennent plus complexes, les nuances et les coloris augmentent, mais on n’ajoute ni nouvelles structures ni nouvelles fonctionnes.

Il s’agit d’une vision du soi « du haut », qui analyse en meme temps plusieurs plans et prospectives fonctionnels, qui embrasse les évènements des quatre grandes aires ou il est possible subdiviser la complexe structure de l’organisme humain. Notre sens du corporel dépasse la double dimension psyché-soma étendu au-delà de la simple signification physique. Le corp est vu comme un complexe système de fonctions et de plan agissant entre eux et l’extérieur. L’interet n’est pas seulement adressé aux gestes-signaux, ou aux mouvements extérieurs, mais meme à la morphologie, aux petits mouvements, aux mouvements involontaires, internes physiologique, etc. C’est le meme dualisme psyche-soma qui dans une nouvelle vision est désormais dépassé. Le dualisme existe comme une patologie. Nous n’acceptons pas qu’il existe une correspondance automatique et mécanique entre la phase dans la quelle se trouve l’enfant et pathologie qui peut se développer en lui. Avant la naissance les actions sur l’enfant sont direct selon les plans. Il s’agit de deux systèmes fonctionnel qui interagissent entre eux (mère-foetus), surtout à travers le physiologique. Le système physiologique de la mère va directement à influencer les conditions de l’enfant. La paroi de l’uter contracté et dure, le défaut de mobilité, le manque d’oxigène agissent directement, aussi que le niveau émotif de la mère à travers ses modifications physiologique. Là nous devons agir. (S’il y a des clivages entre les niveaux émotif et physiologique de la mère, on peut avoir des incongruités : es angoisse de la mère et enfant bien, ou mère tranquille et enfant mal). Les effects du père sur le foetus sont aussi surtout indirects, à travers les effects sur la mère, et seulement un petit peu direct avec la voix et le touche. Après la naissance la conduite de l’ambiance est plus directement rapportée et addressée à l’enfant, a ses expressions et ses comportements. Il y a un impact direct de tous ceux qui agissent souvent sur l’enfant, qui seulement après les premières phases de la vie devient diffèrent pour role, culturel, entre mere et pere, en agissant sur le cognitif. En accord avec les plus recentes recherches sur l’enfance, on exclue les phases d’un vrai narcissisme primaire ou de symbiose totale. On a vérifié, au contraire, que de la naissance(ou meme dans le seins maternel) existent des capacités et des expressivités(bien que rudimentaires et pas encore complétés) soit du type émotif que créatif, soit perceptif que cognitif). De toute facon l’enfant c’est actif, en connexion direct avec l’extérieur, capable de susciter interet, de mettre en mouvement et adapter autour de soi e l’ambiance et les personnes, de commencer, des séquences e des communications.

En effet l’étude de la première enfance et de la période périnatale a révelé que l’enfant est dans une interaction déjà très vive avec l’ambiance extérieur des le debut, qui n’est pas « isole » et surtout qui possède toutes ses capacités émotionnelles, cognitives et idèatives(meme si plus simplifiées) à l’origine rapportées entre elles et au mouvement expressif et perceptif, soit à l’intérieur que à l’extérieur. En particulier il est évident qu’on dépassé l’hypothèse des phases suivantes de développement évolutif, chacune avec une bien déterminée focalisation sur une zone corporelle. On pense plutot a une implication( en toutes les phases) de celles parties du corps impliquées au meme temps à exprimer, à réprimer, à changer les différentes émotions ou les condition de la relation. Il n’y a donc pas une connexion mécanique entre les parties du corps et déterminées émotions, ni il y a plus aucun sens de parler de typologies qui se basent sur ces concepts, mais il faut plutot viser à une stratification des émotions dans les differentes zones du corps, ou plus en general, viser à une stratification des issues des événements et des relations(la facon ou ont changés les rapports) sur tous les niveau du soi : dés les seuils de la perception aux souvenirs, dès les émotion aux postures, dès la mémoire corporelle,etc. Mais le modèle tente surtout de cueillir des interactions parmi les differents procédés fonctionnels, entre un domaine du soi et l’autre, et à l’intérieur de chaque domaine, en remarquant(à partir d’une intégration primaire les altération et les disfonctions qui interviennent en elles, et dans le monde des relations objectuelles, soit avec les aspects extérieurs que avec le soi-object. Les disfonctions constituent essentielment des clivages et séparations entre les differentes plans du soi(ou à l’intérieur de chaque plan), de hypertrophies et hypotrophies d’un procédé fonctionnel vis-à-vis aux autres, d’un raidissement et d’une sclérotisation des parties du soi  qui limitent la gamme des strategies, des mouvements, des idéations, des emotions.

L’interventation de clivages, de raidissement et de inharmonies dans le développement produit une altération complessive du soi, une modification de tout son état, un raidissement caractéral qui reduit la mobilité sur les  differents niveaux fonctionnels. Nous ne parlerons, donc, génériquement, de bloc corporels, de zones bloquées ou de tensions, mais des limitation de la gamme entière, de la mobilité. Le concept du soi ne se refère pas seulement à de phases limitées de la vie enfantine, ni il se structure seulement dans un deuxieme temps, successivement aux premières expérience et aux premières rélations(comme quelques auteurs soutiennent).